Cette semaine, découvrez chaque jour le portrait de deux doctorants participant à la finale de l’édition grenobloise de Ma Thèse en 180 secondes, le 13 avril prochain.

Ali Fouladkar : “la détection et l’interprétation des signaux faibles du Big Data pour une décision stratégique: la pré-adoption de la Nouvelle Technologie”

Le travail de thèse d’Ali porte sur « la Détection et l’Interprétation des Signaux Faibles du Big Data pour une Décision Stratégique: la Pré-adoption de la Nouvelle Technologie ».

Fortement impliqué scientifiquement, il est aussi engagé politiquement pour prouver qu’un engagement politique n’est pas incompatible avec des recherches scientifiques mais au contraire nécessaire pour devenir un citoyen actif au service de la communauté. Sportif et aventurier, Ali a déjà parcouru plusieurs pays et programme déjà ses futurs voyages.

En 2013, il a eu l’occasion de présenter l’Université Pierre Mendès France aux Etats-Unis dans une des conférences annuelles d’IBM les plus renommées, ses recherches ont été citées par la MIT Technology Review. Pour la présentation MT180, Ali met en valeur ses acquis à la Communauté Université Grenoble Alpes et serait honoré de pouvoir représenter Grenoble lors de la finale nationale.

 

 

 

Gaëlle Faure : “le développement et la validation d’algorithmes de détection de défauts et de diagnostic automatisé de centrales solaires thermiques de grande dimension”

 

Alors qu’elle travaille chez Viessmann, Gaëlle se lance dans un nouveau projet, la réalisation d’une thèse concernant le « développement et la validation d’algorithmes de détection de défauts et de diagnostic automatisé de centrales solaires thermiques de grande dimension ».

Alors que tout le monde s’extasie sur l’énergie solaire présentée comme énergie du futur, Gaëlle aimerait que celle-ci devienne une énergie du présent. Passionnée de montagnes, c’est tout naturellement que cette doctorante s’est orientée vers Grenoble pour réaliser sa thèse.

L’expérience de MT180, elle le vit comme un vrai challenge personnel. En effet, Gaëlle souhaite apprendre à vulgariser la science et se prouver à elle-même qu’elle peut être à l’aise à l’oral. Son objectif principal n’est pas de gagner mais de prendre du plaisir lors de cet exercice peu commun.

 

 

Crédits photo: Esther Lauri

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